Avis sur le roman un pays, une communauté de Jean-Luc Bremond
Avis en dessinant
Les amateurs d’histoires d’amour et d’écriture sentimentale seront ravis de découvrir l’histoire qui attend Laurent. Cette-dernière fut aussi dure que réaliste et n’a rien à voir avec les romans à l’eau de rose classiques.
Ce récit ne va pas vous laisser indifférent. On peut voir la souffrance de cet homme tout au long de sa vie, comme une sorte d’introspection. Les informations que l’on apprend au fur et à mesure de notre avancée rajoute quelque chose d’encore plus intéressant à notre lecture.
Laurent nous entraîne dans sa vie. Dans ses choix. A la recherche de réponses à ses questionnements.
https://www.babelio.com/livres/Bremond-Un-pays-une-communaute/1153459/critiques/1961411
Cette lecture a été pour moi sous tension car tout le récit est tendu à cause de la souffrance évidente du personnage principal qui oscille entre envie de rébellion et frustration liée à sa grande inhibition.
En avançant
Au cours des pages, nous allons suivre la vie de Laurent, un jeune homme atypique et souvent dans la souffrance. On va voir la vie de ce protagoniste défilé ainsi que des allées et venues de sa famille.
Au fil des pages, nous suivons Laurent de son adolescence à un âge plus mûre. C’est un personnage très touchant, il souffre beaucoup…
Laurent est issu d’une famille nombreuse, un peu rebelle, il aspire à vivre ses propres expériences au sein d’une communauté qui lui conviendrait.
Ce roman est fort et nous fait passer par toutes les émotions, de quoi nous donner envie de suivre longtemps les réflexions et le vécu de notre personnage principal. La plume poétique de l’auteur soutient bien tout cela et nous plonge avec facilité au cœur de son roman et dans les réflexions qu’il souhaite partager avec nous. C’est un roman qui sort du lot et qui mérite largement d’être découvert.
Articles
Cette chronique est une rencontre avec un artiste à part. Jean-Luc Bremond est un homme discret et loin des sentiers battus. Il est une vraie figure de ce que l’on pourrait appeler l’alter-culture.