Sur la route du refuge, de Russie au Canada, des racines aux branches, la voie turquoise du pardon traverse la terre de la spiritualité.
L’arbre des réfugiés
J’écris pour voyager et libérer l’inspiration
Anabaptiste dans le roman l’arbre turquoise.
Ce site d’auteur te fera découvrir l’univers des romans initiatiques spirituel et d’aventure de Jean-Luc Bremond. Ils parlent de la quête et la résistance des individus et des peuples pour conquérir la liberté, tant par la dignité que le respect.
Je suis né en 1964. Dans les grands espaces ventés du haut Languedoc, j’exerce le métier de paysan boulanger et de potier. J’anime des ateliers de danse traditionnelle.
J’écris pour voyager, libérer les pensées qui naissent dans l’expire de l’imagination et dans le souffle de l’inspiration. Les thèmes portent principalement sur les peuples. J’ai en effet un intérêt pour l’ethnologie, et les spiritualités qui font de nous des humains enclins au respect. Les sujets et les histoires naissent sur le papier comme si je rêvais éveillé. La plupart se déroulent dans le passé, la racine du présent. Certaines sont contemporaines. Chaque page de ce blog d’auteur est dédiée à un roman édité. Les autres livres se peaufinent avant d’être envoyés.
Parfois, je partage des réflexions, des pensées et des courtes histoires sur des thèmes qui me sont chers.
Un autre site présente mon activité de praticien d’hypnose ericksonienne Jean-Luc Bremond
Sur la route du refuge, de Russie au Canada, des racines aux branches, la voie turquoise du pardon traverse la terre de la spiritualité.
Le chant du pardon. J’ai envoyé, il y a peu, un manuscrit à des éditeurs. Je l’ai nommé : l’arbre turquoise. Roman en recherche d’éditeur.
L’arbre des réfugiés est l’histoire de deux jeunes gens issus d’une ferme anabaptiste en Russie. Avec leur enfant, ils fuient la guerre, la famine et l’oppression. Leur rébellion les a conduits à la révolution. La répression les a poussés à la fuite. Contraints de quitter leurs racines, parfois en cachant leurs identités, ils parcourent les branches foisonnantes de l’immigration, insertion et rejet, jusqu’à la terre nourricière de la libération ; voir de la résurrection. Ce roman chante la route de l’exil et la roue de guérison qui conduit à la réconciliation. De secrets en péripéties, de communautés en rencontres, se dévoile peu à peu le mystère enfoui.
Ce roman chante la route de l’exil et la roue de guérison qui conduit à la réconciliation. De secrets en péripéties, de communautés en rencontres, se dévoile peu à peu le mystère enfoui. Je l’ai écrit en hommage aux victimes des préjugés ou des résistants à l’endoctrinement, lesquels, pour pouvoir être eux-mêmes et simplement avancer, doivent parfois s’expatrier. C’est une ode tant à la liberté qu’au pardon, deux chemins ardus qui ont en commun de permettre à l’humain de se tenir debout entre ciel et terre, avec dignité, pour que puisse circuler la lumière de la joie.
En voici un passage