Avis sur le roman le chant du tambour

Avis. Deux retours sur le roman initiatique le chant du tambour. Le battement du cœur de la terre Avis de la lectrice compulsive   La couverture du roman représente bien l’atmosphère du roman, tout en simplicité.  Ce roman est absolument divin, poétique,on apprend énormément de choses.  Achack est un jeune Indien, âgé de treize ans … Lire la suite

Un crachin de critiques sur la communauté

Un crachin de pluie tiède et bonne; je rentre le parapluie

crachin
Roman initiatique, de quête et d’amour

Quatre annales sur le roman un pays, une communauté.

 
Crachin de chroniques
 

Un crachin de Lucile18

Sur Babelio.

Ce fût tout d’abord la belle couverture puis le résumé intrigant qui me donnèrent envie de lire ce livre parfois à la limite de l’ésotérisme et du mystique. La plume de l’auteur est très agréable. On suit Laurent de la fin de son adolescence jusqu’à ce qu’il soit devenu plus serein et père à plusieurs reprises.

Inhibition


Cette lecture a été pour moi sous tension. Tout le récit est tendu à cause de la souffrance évidente du personnage principal qui oscille entre envie de rébellion et frustration liée à sa grande inhibition. Laurent est effectivement tourmenté et l’auteur parvient avec brio à nous livrer un récit chaotique. Le juste reflet du personnage qu’incarne Laurent et son désarroi.

Liens

Pour ma part, lors de la lecture, il a parfois été complexe de remettre les différents protagonistes (frères ou autres.) Le lien avec sa famille est raconté de manière épistolaire via des missives entre sa fratrie et lui-même. Je me suis parfois perdue dans cette lecture qui je pense nécessiterait une relecture de ma part pour m’éclairer connaissant déjà le fil de l’histoire et l’aboutissement.

Un crachin : art


L’écriture de Jean-Luc Bremond est très poétique. Chacun de ses mots choisis avec soin compte pour construire toute la trame du récit. Son écriture est, je pense, l’issue d’un long travail. Le vocabulaire employé est riche et recherché.
Cette lecture ne vous laissera pas indifférent. J’ai été positivement marquée par des évidences qu’il soulève, des propos philosophiques captivants et des messages pertinents. Des réflexions intéressantes sur l’art notamment m’ont marquées.

Folklore

Beaucoup d’apartés sur le folklore et les danses bretonnes. Elles nous rappellent où nous nous trouvons géographiquement mais qui en soit ne servent pas le récit en lui-même. Ou alors je n’ai pas perçu le lien.
Ce livre s’achève en nous laissant apaisés par une fin sereine. 

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Extrait du caravansérail au col de l’amour

extrait du choix de Firuz
Roman initiatique au Moyen Âge et en Orient soufi

Extrait de mon nouveau livre : le choix de Firuze.

5 sens éditions.

Extrait : la caravane

Vers le caravansérail oriental et soufi
Roman d’amour

Dans les montagnes d’Iran, à haute altitude, une petite ville subit les assauts du froid. Ses murs sont surélevés au souvenir des invasions mongoles. Les habitants patientent l’hiver devant l’âtre, par divers artisanats et de longues veillées. Les caravanes ne passeront pas ! Le bazar attendra le printemps pour fleurir de marchandises. Malgré la neige abondante, un vieillard, presque nu et la peau virant au violet, se tient au-dehors. Le corps embrasé de la chaleur du présent. Après une longue vie d’errance, il revient chez lui pour renaître à nouveau. Avant de pénétrer l’enceinte de la cité et honorer ce qui lui reste de parenté, il chante au vent du silence le contentement. Il prend son grand tambour, le bat en un son ininterrompu et fredonne un poème.

Al-Jîlânî

Louable est mon ivresse, licite est le nectar, dont la vigne et son fruit n’ont pas eu de part. À la coupe divine où je portai mes lèvres, l’unique goutte bue, en mon âme soulève une extase dont le feu ne s’éteindra jamais. L’Amour ! lorsqu’il atteint le cœur d’un amoureux, fait que la nuit obscure, pour lui, devient clarté.

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Un choix douloureux ou le désir du cœur

Un choix évident

Un choix d'une femme au Moyen Âge et en Orient soufi
Roman initiatique, de quête et d’amour

 

Extrait du roman le choix de Firuze.
 
Un choix chanté
Roman initiatique en poèmes, danses, chants et musiques

Un choix : détour

Aux confins de l’Anatolie, entre deux chaînes de montagnes s’élevant de la steppe semi-désertique et parsemée de quelques volcans, les bassins renferment des bourgades. Elles sont concentrées à proximité des sources d’eau. Accueillies dans la maison de leur maître, des femmes vivaient dans l’une d’elles en couvent. Un fait exceptionnel en terre d’Islam. Leur mari et leurs bambins habitaient à l’extérieur. Dans des appartements loués dans le village ou bien dans les quelques dépendances mises à disposition. Point de mosquée, ni de dôme sous lequel reposerait leur inspiratrice Rabi’a, puisqu’elle était morte plusieurs siècles auparavant, mais une pièce polyvalente servant à la fois pour les prières et les repas. Les sœurs avaient mis à disposition une grange pour l’instruction des gamins des membres et des villageois. Qu’il soit élève, pèlerin, visiteur ou simple passant, le gîte et le couvert y était gratuit.

Poème

 
L’une des Soufies, enceinte de quatre mois, choisit de s’isoler. Le célibat n’étant pas imposé, la naissance signifierait peut-être de prendre une autre voie. Son époux et ses deux gosses l’attendaient ; un marmot de plus et son mari se révolterait ! Pour laisser ses tensions s’échapper avec le vol des grues qui, de leurs longues ailes, barrent le soleil de printemps, elle chante sa peine par un poème d’Abu Yazid Bistami.
Au plus secret du cœur je t’évoque. Je suis anéanti, tu demeures, mon nom est effacé ; effacés les vestiges de mon corps. Tu me réclames, je réponds ; il n’y a que toi, c’est toi qui me consoles par l’œil de l’imagination. Où que je me trouve tu es là.
 

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Les sentinelles alpines maintien de l’éveil

les sentinelles alpines
Roman initiatique sur les chemin de la libre expression, en art et relations

Les sentinelles ou les bouchons de la mer. Extrait du roman un pays, une communauté.

 
 
De la montagne à la communauté, un chemin d'introspection
Roman initiatique : de l’intérieur vers la beauté

Les sentinelles ou le guide de la destinée

La détente est l’amie du corps et de l’âme. Quand une personne la trouve, dans un environnement dépourvu de tensions et riches de distractions, elle irradie de bonheur son corps jusqu’alors crispé. Ainsi il relâche intérieurement, confiant pensées et résistances au vent. La trouve-t-on seulement dans la fuite du champ de bataille ? Si elle est associée au souffle, alors elle est présente dans l’action comme dans l’inaction. Son coin de prédilection est le silence dans les gestes et la voix. Pour la communauté, où le lieu de travail et l’habitat ne sont pas séparés, la suspension s’impose dans les journées, tels les silences sur une partition. Pour que la mélodie soit agréable à jouer et à écouter, un équilibre est à trouver. Se limiter au minimum pour sa tranquillité, la tension grandit alentour ; exceller dans la générosité, la détente nous comble et contamine nos proches.

Les frères

Après avoir aidé ses amis bergers jusqu’à la désalpe, Laurent était resté dans le village valaisan chez le propriétaire du consortium, pour traire les bêtes et curer l’étable. Il acceptait n’importe quels jobs, avide de passer sa hargne dans l’effort constant. Dans ses rares moments de liberté, il courait les sommets. Lors de ses nuits agitées, il écrivait ses pensées. Suite à sa déconvenue, qui l’avait fatalement écarté de son rêve de collectivité, ses deux frères lui avaient fait la surprise de le visiter en Suisse. Ils avaient relaté les lettres et leurs contenus, l’échec de Tristan, le renoncement de Bleiz à ramener le benjamin au bercail. Tristan gardait son idée d’engagement pour la nation, Bleiz s’orientait dans la taille de pierre, Enora aux beaux-arts, Laurent ne reprendrait pas les études. N’en déplaise à sa mère, il serait berger. Les frangins s’étaient consolés en de grandes virées sur les hautes crêtes, scellant le pacte de ne jamais se laisser tomber.
 

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Errance dans les contrées d’Asie

 Errance

Errance du désert en Himalaya, de monastère en yourte

Errance en Asie mineur
Roman d’aventure initiatique

Un extrait du roman la voie de l’errance.

Errance en lamaserie

Errance en Himalaya Tibet

Le message

Au petit matin, un moine vint réveiller les voyageurs. Ils se levèrent discrètement pour ne pas réveiller leurs compagnons de chambrée. L’homme leur remit à chacun une étole blanche. Le lama voulait les rencontrer. Les quatre garçons se concertèrent du regard, étonnés par la requête du supérieur. L’abbé se recueillait dans une très grande salle de prière pourvue de colonnes garnies de tapis. Une multitude de statuettes dominait la pièce décorée de rouleaux peints, elles veillaient les religieux silencieux. Les visiteurs durent attendre que cesse la méditation avant de connaître la raison de leur convocation. Une demi-heure, un temps interminable pour des jeunes impatients, plus habitués à galoper dans le désert ou vadrouiller sur les routes, que de rester assis en lotus ! Ils s’apaisèrent en contemplant les couleurs jaunes et pourpre des méditants, la terre safran pour la stabilité, le feu rouge de l’éloquence.

Orge

Les élèves, entre quinze et vingt ans, sortirent un par un. Le lama fit signe aux voyageurs de venir le rejoindre près de la statue d’un enfant, le fondateur de l’école gelugpa. Après avoir salué le vieil homme, mains jointes sur le cœur et tête inclinée, les garçons lui offrirent leur écharpe en soie. Il les prit puis les entraîna dans ses appartements privés. Sitôt les invités installés, un thé au beurre de yack et de la farine d’orge leur fut servi. Ils mangèrent en silence, installés sur des coussins disposés pêle-mêle sur une natte tressée. Le Rinpoché les regarda former maladroitement une pâte avec leurs doigts, ne sachant s’ils devaient aussi boire le thé. Il sourit.
— Puis-je connaître la raison de votre venue parmi nous ?

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Lutte, comment définir la non-violence

lutte non-violente
Roman initiatique : art et liberté

 Lutte non-violente. Roman un pays, une communauté.

 

Lutte non-violente Martin Luther King
Ne pas fuir le conflit, mais le traverser avec dignité. 

Lutte: une définition de la non-violence

Un « non » au viol de la personne dans son intégrité; la mienne, celle de mes proches, mes voisins et plus largement celle des habitants de mon pays et du monde encore inconnu. La violence engendre la violence et isole celui ou celle qu’elle vise ; un acte courageux pour lui faire barrage développe la solidarité.

Lutte en Inde Gandhi

Lutte : humour

La non-violence n’est en aucun cas une attitude de passivité. Celui ou celle qui en use, dénonce les actes injustes, en essayant de ne pas piétiner son auteur, par la force et la diffamation, les armes du violent.
La non-violence est toujours à inventer. L’humour en est son vêtement, l’intelligence son squelette, la dignité ses tripes, le respect son cœur et la bienveillance son sang.
Se battre pour défendre sa vie et les vivants, l’exigence de notre passage sur terre, nous rend résiliant. Fermer les yeux et les oreilles sur les cris des souffrants, creuse peu à peu notre tombe de l’oubli.
 

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Bientôt, comme un avant-goût épicé et salé

Bientôt, en juillet, seront édités deux romans contemporain et historique. Deux récit d’apprentissage et d’amour. Des monts du Zagros à la grotte des Korrigan Deux livres sur le thème du choix. Bientôt le choix de Firuze Une fiction se situant au moyen âge entre la Mésopotamie et la Perse. Chroniques. Ce roman, c’est l’histoire de … Lire la suite

Dans les prochains mois, naissance d’amour

Dans les prochains mois sortirons deux romans : le choix de Firuze aux éditions 5 sens et Un pays, une communauté aux éditions le lys bleu. Dans les prochains mois, le choix de Firuze Au Moyen Âge, entre la Mésopotamie et l’Iran, deux jeunes gens se rencontrent au sein d’une caravane, alors perturbée par un … Lire la suite

Panique sous le bleu de Tengri

Panique en Himalaya, Everest
Roman initiatique au pied du Chomolungma : une aventure au Tibet

Panique en Himalaya. Un extrait du roman la voie de l’errance.

Panique : la chute

Le soleil atteignait son zénith, un disque éblouissant surplombant les sommets dégagés, blancs sur une toile azurée. Les voyageurs empruntèrent le sentier qu’ils avaient dû quitter le matin même. Un raidillon bordé d’un remblai de pierres, un mur de soutènement pour le consolider, un chemin de caravaniers qui conduisait à une longue crête aiguisée. Ils admirèrent le travail titanesque du peuple des montagnes. Passé quatre mille mètres, outre le froid, la lumière aveuglait et l’oxygène se raréfiait.

Panique : respiration

Les garçons retrouvaient les symptômes qu’ils avaient oubliés : gonflement des mains et du visage, vomissements, maux de tête, essoufflement. Pourtant habitués aux saisons extrêmes du désert de Gobi, ils développaient divers signes inquiétants : engelures, déshydratation, enflure des pieds et des chevilles, une réaction à l’altitude trop élevée. Mais d’autres signaux préoccupaient davantage Champo : leur peau bleutée indiquant un possible œdème du poumon, ou encore leur confusion, titubation, trébuchement, une manifestation d’un début d’œdème du cerveau. Il épiait les deux signes alarmants qui l’obligeraient à dévaler au plus vite la pente : les crachats roses et mousseux, les hallucinations. Alors les réactions disparaîtraient instantanément. Bien qu’il eût lui aussi des céphalées et une gêne respiratoire, Ganzorig paraissait mieux adapté que ses jeunes camarades. Une aide précieuse pour le Tibétain.

 Arbre d’ivoire

Champo avait étudié gratuitement, trois ans durant, à l’école des guides de montagne du Tibet, sélectionné à seize ans dans son village natal à plus de quatre mille mètres, puis embauché par la Compagnie de Lhassa. Sa famille l’avait suivi dans la capitale ; des pauvres gens dans une ville de riches. Le benjamin entretenait ses parents. Sukbataar, le plus robuste des trois enfants, parvenait à suivre ses aînés, Naranbaatar et Kushi peinaient en arrière. N’avançant que par la seule force de la volonté, ils parvenaient à peine à respirer. Ils s’arrêtaient souvent pour admirer le paysage, un spectacle à couper le souffle ! obligeant leurs compagnons à les attendre. Les cimes se découpaient tel un grand arbre d’ivoire déployant ses branches dans le ciel infini ; le disque solaire embrasait les arêtes d’argent comme les couronnes des puissants khans sous la clémence de Tengri. Au loin, les glaciers dégringolaient en cascades luisantes et se brisaient en séracs sales et géants. En contrebas, les névés blancs, striés de sang, s’écoulaient sur la terre mouillée, à l’instar des langues tombantes des chameaux assoiffées par le sable brûlant.

Panique : l’antre

Les voyageurs arrivèrent enfin à la crête méridionale, passage forcé pour atteindre le col frontalier. À l’ouest, la boule rouge de l’astre du jour s’enfonçait derrière les cimes effilées, nappant d’orange et de pourpre leurs contours glacés. D’un côté, la chaîne himalayenne inondée de feu, de l’autre, le Sikkim et peut-être le Bhoutan, disparaissant peu à peu dans l’antre des Dieux.
Champo décida d’une halte à l’abri du vent derrière de grosses roches. Les sacs en plume d’oie furent aussitôt étalés côte à côte sur une toile plastifiée et chacun se précipita dans son duvet, la tête engoncée dans les capuches rembourrées.

Panique : soins

Les jambes au chaud dans son sarcophage, le guide distribua des galettes sucrées et mit le réchaud à brûler pour le thé. Il sortit de son sac de la farine d’orge et même du beurre conservé dans un pot en fer blanc et en garnit les cinq récipients.
— C’est de la graisse qu’il vous faut. Je vais aussi vous faire une décoction de racine d’orpin, mais je crains que ce ne soit pas suffisant pour enrayer vos symptômes. La seule solution est un changement d’altitude brutale. Donc demain, nous passons la crête pour nous précipiter sans halte en contre-bas
— Tout dépend si la pente est un pré ou de la rocaille, parvint à plaisanter Sukbataar.
— Je ne te demande pas ton avis, c’est un ordre ! S’emporta son aîné.
Champo étala par-dessus ses protégés les épaisses couvertures tissées de poils de yaks.
— Dormez maintenant, demain je vous réveille très tôt, dit-il d’une voix adoucie.

 Le pont

La crête se présenta telle une route parfaitement dessinée, d’une étroitesse démesurée, un pont enjambant le néant. Dans son prolongement, le col, la porte de la liberté. Les voyageurs encordés de baudrier en baudrier, Champo se lança le premier, Sukbataar à quinze mètres après lui. Le guide avait préféré des petits groupes plutôt qu’une longue file, estimant le passage aisé à franchir. En effet, il ne leur fallut pas longtemps pour le traverser. Sitôt atteint le versant opposé, le Tibétain fit signe à l’autre file de passer. Elle s’engagea, espacée de huit mètres. À mi-parcourt, Ganzorig entendit un grand cri. Il n’eut pas le temps de se retourner que, soudain, il fut entraîné vers l’abîme. Il parvint de justesse à se plaquer en arrière d’une roche et à s’y caler fermement. Le poids de la cordée lui serra la taille et l’empêcha de respirer. Quand il put enfin ouvrir les yeux sur la scène de l’accident, un atroce pressentiment lui vrilla les boyaux. Ce fut pire qu’il le pensait. La crête vierge, la corde tendue vers le précipice. Affolé, il maintint de toutes ses forces le cordage, en espérant qu’il ne brisât pas, que les mousquetons ne lâchent point, propulsant les garçons dans le ravin himalayen.
D’abord incapable de réaction, Champo se détacha de son compagnon. Il prit dans son sac le matériel prêté par la Compagnie des guides, puis il se précipita sur la crête. Sukbataar se retrouva seul et figé par la peur.

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