Roman initiatique en version numérique, le chant du tambour. Diffusion Pour devenir un homme, un jeune garçon de treize ans doit entreprendre sa quête de vision. Mais son père en a décidé autrement ! 5 sens éditions Le chant du tambour : chronique Le commentaire de Cathy, les milles et une pages. … Lire la suite
Mille et unes chroniques sur le roman le chant du tambour par Cathy, les mille et une pages. Mille et unes chroniques : commentaire Achack est un jeune indien Algonquin, l’année de ses 13 ans comme tous les adolescents de sa tribu, il doit entreprendre sa quête de vision. Il va partir en mission pour voir ce qui se … Lire la suite
Cette chronique est une rencontre avec un artiste à part. Jean-Luc Bremond est un homme discret et loin des sentiers battus. Il est une vraie figure de ce que l’on pourrait appeler l’alter-culture. Loin du courant mainstream, ses livres sont d’authentiques cheminements intérieurs sur lesquelles souffle l’aventure, la grande. « J’écris pour voyager, libérer les pensées qui naissent dans l’expire de l’imagination et dans le souffle de l’inspiration » dit-il lui-même. Jean-Luc Bremond a publié en quelques mois deux romans, La révolution du Klezmer et Le Chant du Tambour et (Cinq Sens éditions). Il a bien voulu répondre à nos questions.
Un alter-artiste : présentation
Bla Bla Blog – Voulez-vous vous présenter en quelques mots ?
Jean-Luc Bremond – Je suis né dans le Pas-de-Calais, sans m’y être fixé. Du nord au sud de la France, villes et villages, avec un détour en Suisse, pays d’origine du côté paternel, j’ai choisi de vivre en communauté, où j’ai maintenant passé plus de la moitié de ma vie. Dans ce collectif, rural et artisanal, j’ai rencontré le Québec au-travers ma compagne, fondé une famille et appris plusieurs métiers, dont celui de boulanger.
Un alter-artiste en marge
BBB – Pouvons-nous dire que vous appartenez à cette catégorie d’écrivains à la fois en marge, tout en étant engagés ?
JLB – L’écriture est venue sur le tard. L’engagement pour la justice et la paix, beaucoup plus tôt. Ce que je raconte vient de l’imaginaire, fécondé par des lectures, rencontres, voyages, vie proche de la nature, un intérêt précoce pour les peuples, leur histoire humaine, plus que celle des conflits armés. J’essaie de comprendre ce qui prédispose les hommes à choisir la guerre plutôt que l’entraide et le respect ; j’oppose au racisme, nationalisme, communautarisme, populisme, pacifisme, fondamentalisme (…), enfermant et détruisant pour le seul profit, les simples rapports des humains enclins à la créativité qui ouvre et construit.
Le violoniste reçoit des commentaires Une chronique sur la révolution du klezmer par Cathy Legall. Le violoniste ashkénaze Elijah est un klezmer, un musicien ashkénaze. Il parcourt la Transylvanie Roumaine de 1925. Lors d’une journée un peu comme les autres, il va avoir un déclic. Une envie de voir autre chose, de découvrir autre chose, … Lire la suite
Publication numérique du roman le chant du tambour. 5 sens éditions Publication numérique : résumé Alors que sévit la Grande Guerre en Europe, un jeune Algonquin de treize ans doit entreprendre sa quête de vision. Cependant son père, homme-médecine, a d’autres projets. Il l’envoie en mission pour interpeller ceux qui menacent son peuple et pour … Lire la suite
Salon du livre, une première expérience Salon du livre : promotion Deux romans, la révolution du klezmer et le chant du tambour, et une souscription pour la voie de l’errance. J’étais heureux de pouvoir faire l’expérience d’un salon du livre. J’ai encore beaucoup à apprendre pour promouvoir mes romans. Un peu long, mais de … Lire la suite
« Le roman d’un juif ashkénaze. La Révolution tranquille d’un musicien témoin du racisme et du nationalisme de son époque.
Laissez-vous emporter par la petite musique de ce roman à la suite d’Elijah, en pleine révolution, dans la Roumanie de l’entre-deux-guerres. »
Réédition numérique : extrait
Elijah parcourt la Bucovine, le haut pays des hêtres. Un pays montagneux peuplé de plusieurs minorités, vestiges du négoce ou des conquêtes, des loups et des ours. Comme en Transylvanie, il ne sait jamais sur quelle population villageoise il va tomber. Elle forme des groupes le plus souvent de langue slave, parfois de langue allemande. Comme autant d’îlots dans la mer intérieure moldave, elle-même incluse dans l’océan roumain. Le klezmer est hébergé dans des foyers polonais, ukrainiens, houtsoules ou vieux russes. Des bûcherons très traditionnels et hospitaliers. Il y mange invariablement de la mamaliga à toutes les sauces. Aussi du fromage fumé et des boulettes de viande, en échange de mélodies pour égayer les soirées.
Réédition numérique : racisme
Il ne se risque pas à sortir son répertoire yiddish. Dans les villes qu’il a précédemment traversées, ou à proximité des imposants monastères aux fresques éblouissantes, il a assisté aux vexations, aux brusqueries à l’égard des Juifs et des Roms. Des cibles de choix des défenseurs de l’orthodoxie. Ils les accusent d’être communistes, de voler leur pain ou bien de détourner l’économie à leurs profits.
Pauvreté
La population est pauvre c’est un fait, mais leurs maisons sont d’une richesse inouïe d’ornementation digne des palais des sultans. Chaque fois qu’il pénètre l’habitation de ses hôtes, il ne peut s’empêcher de s’arrêter sur le pas de la porte, contempler la beauté des boiseries qui ornementent aussi bien les vérandas que les puits, il s’imprègne ainsi de l’art populaire des peuples des Carpates. Tout est brodé ici, tout est coloré aussi, portes, fenêtres, tentures, habits et même les œufs de Pâques qui veillent sur les étagères. Mais la joie des yeux et le bonheur des sens ne peuvent lui ôter la peine qu’il éprouve en son cœur.
Illustré de la méthode d’inspiration de mes romans Retour en liens sur chacun des romans Inspiration Quelques photos de présentation de l’auteur de ce site. Illustré : en route Les idées viennent en marchant En dansant Illustré en tournant En panifiant Illustré : en enfournant … Lire la suite
Une traversée en communauté de l’éveil des vingt ans à la maturité des cinquante ans. Les chemins tordus sont parfois les plus droits. Le Réveil Je me suis réveillé à l’aube de mes vingt ans, le courage dans les pieds, la joie dans les mains, retrouver mes racines et libérer la … Lire la suite
Une pensée au fil des jours des saisons communautaires tissées de relation et de solitude. Un pays, une communauté.
La peur ou l’amour
Jour 1
Face à la mort s’ouvrent deux voies : la peur ou l’amour
Face à la vie s’offrent deux choix : la bienveillance ou la malveillance.
Face à soi-même, aux autres, et à la nature se présente une réponse : la vie qui rend libre.
Jour 2
Être cohérent c’est exprimer, dans ses gestes et ses paroles, la sincérité de son intention.
L’authenticité de mon comportement dévoile dans le même temps la force et la faiblesse de mon être profond. Ainsi, vulnérable, je peux appréhender avec bienveillance l’intention de l’autre.
De la liberté de la bonté naît la force de la douceur qui instaure le respect.
Être cohérent, c’est être un des piliers du pont de la vérité, planté dans le terreau de la conscience, élancé dans le courant de la liberté.