Cap exil, le fruit du confinement

  Cap exil, un prochain roman. Nouvelle-Orléans, États-Unis. Août mille huit cent vingt-deux. Cap exil : quelques extraits Voici quelques passages en gestation de mon prochain roman La mangrove Massoma marchait dans la mangrove au milieu des petits arbres aux pieds inondés. Son père était devant, avec son oncle et Bonam. La mousson soufflait violemment. … Lire la suite

Le chant du pardon guérit les racines

Le chant du pardon. J’ai envoyé, il y a peu, un manuscrit à des éditeurs. Je l’ai nommé : l’arbre turquoise. Roman en recherche d’éditeur.

Le chant du pardon
Roman de quête

 

 
le chant du pardon, en entrelacs de vie

Le chant du pardon, à propos

L’arbre des réfugiés est l’histoire de deux jeunes gens issus d’une ferme anabaptiste en Russie. Avec leur enfant, ils fuient la guerre, la famine et l’oppression. Leur rébellion les a conduits à la révolution. La répression les a poussés à la fuite. Contraints de quitter leurs racines, parfois en cachant leurs identités, ils parcourent les branches foisonnantes de l’immigration, insertion et rejet, jusqu’à la terre nourricière de la libération ; voir de la résurrection. Ce roman chante la route de l’exil et la roue de guérison qui conduit à la réconciliation. De secrets en péripéties, de communautés en rencontres, se dévoile peu à peu le mystère enfoui.

Mais encore

Ce roman chante la route de l’exil et la roue de guérison qui conduit à la réconciliation. De secrets en péripéties, de communautés en rencontres, se dévoile peu à peu le mystère enfoui. Je l’ai écrit en hommage aux victimes des préjugés ou des résistants à l’endoctrinement, lesquels, pour pouvoir être eux-mêmes et simplement avancer, doivent parfois s’expatrier. C’est une ode tant à la liberté qu’au pardon, deux chemins ardus qui ont en commun de permettre à l’humain de se tenir debout entre ciel et terre, avec dignité, pour que puisse circuler la lumière de la joie. 

 
Le chant du pardon, la famille
Roman initiatique

En voici un passage

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Chronique, la voie de l’errance

Chronique de Stéphanie Pereira, sur Facebook. Qu’est-ce qu’on attend pour lire.   « Leurs grands-parents avaient connu l’invasion chinoise, ils avaient pleuré l’exil de leurs parentés et amis. Les garçons et les filles avaient grandi dans la mémoire de la destruction de leur peuple. Ils connaissaient eux-mêmes l’expérience de l’humiliation, de la brusquerie. Ils vivaient … Lire la suite

Le violon klezmer reprend du service

Le violon de la révolution du klezmer. Une chronique d’évasions littéraires. Le violon Je dois dire qu’avant de lire ce roman, je n’avais aucune idée de ce qu’était un klezmer Un petit mot sur la musique klezmer et je pense ne pas être la seule. Aux côtés d’Elijah, je n’ai pas appris seulement la définition … Lire la suite

La communauté, une chronique

La communauté, un pays de bonne surprise. Encore un beau commentaire. Merci Un pays, une communauté La communauté, chroniques de Lee Ham Autres critiques La vie est faite de choix définissant la personne qui les fait et qui ne peuvent pas plaire à tout le monde. Ils sont parfois un rite de passage et ils … Lire la suite

Nomade sur la voie du cœur

Nomade. en cavale.

Nomade
Roman d’aventure initiatique

Une chronique sur le roman :  la voie de l’errance, par Cathy Legall. Les milles et une pages.

 
Nomade. La voie de l'errance roman jpeg
 

 Nomade. La Fugue

Naranbaatar, un jeune Mongol du désert de Gobi, doit quitter sa famille pour se rendre à l’école rendue obligatoire par les Chinois. Ne se faisant vraiment pas à tout cela, le jeune garçon de neuf ans décide, accompagné de trois de ses camarades, de fuir l’école. Ils comptent retrouver leurs familles. La fugue des trois amis va durer beaucoup plus longtemps que prévu. Ils vont devoir faire face à beaucoup d’épreuves. La quête ne fait que commencer pour trouver leurs voies.

Aventure

Coup de cœur pour ce roman. Je me trouve tellement chanceuse d’avoir pu lire un roman comme celui-ci. J’ai passé un moment de lecture très fort, j’ai eu l’impression de vivre l’aventure au côté de Naranbaatar, Sukbataar et Kushi. Ces jeunes enfants en quête de liberté, malgré le prix qu’il va leur falloir payer pour cela. La voie de l’errance est un voyage initiatique où les trois amis vont apprendre à se découvrir et au final acceptés leur destin.

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Critiques en concerto Klezmer

Critiques du roman La révolution du klezmer . Le violon glisse sur la reconnaissance

 
Critiques la révolution du klezmer
Roman de quête de soi-même

Trois chroniques coup sur coup

La lectrice compulsive

Critiques : une quête initiatique

Par la lectrice compulsive

remerciements

Je remercie énormément l’auteur,
5 sens éditions et simplement pro.
La couverture est en accord avec le roman, le klezmer Un petit mot sur la musique klezmer est une tradition musicale instrumentale des juifs ashkénazes (juifs d’Europe centrale et orientale).

Contexte

Nous sommes en 1925 et Elijah voyage de village en village avec son violon afin de proposer ses services de musicien.
Nous plongeons au cœur de la Transylvanie Roumaine et à la découverte de sa culture, c’est passionnant!J’ai apprit beaucoup avec ce livre.
L’époque ou évolue Elijah est une période trouble, la pauvreté, la violence, l’extrémisme, le racisme..sont partout. Il va rencontrer de nombreux personnages sur sa route, on peut dire que ce voyage est pour lui une quête initiatique , chaque personne qu’il va rencontrer va changer son destin, chacun à leur manière.
C’est un beau voyage, le personnage évolue et nous,nous apprenons beaucoup de lui.
La plume de Jean-Luc est belle, sensible, touchante et riche.C’est un auteur généreux qui offre beaucoup à ses lecteurs.

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Avis sur le roman le chant du tambour

Avis. Deux retours sur le roman initiatique le chant du tambour. Le battement du cœur de la terre Avis de la lectrice compulsive   La couverture du roman représente bien l’atmosphère du roman, tout en simplicité.  Ce roman est absolument divin, poétique,on apprend énormément de choses.  Achack est un jeune Indien, âgé de treize ans … Lire la suite

Un crachin de critiques sur la communauté

Un crachin de pluie tiède et bonne; je rentre le parapluie

crachin
Roman initiatique, de quête et d’amour

Quatre annales sur le roman un pays, une communauté.

 
Crachin de chroniques
 

Un crachin de Lucile18

Sur Babelio.

Ce fût tout d’abord la belle couverture puis le résumé intrigant qui me donnèrent envie de lire ce livre parfois à la limite de l’ésotérisme et du mystique. La plume de l’auteur est très agréable. On suit Laurent de la fin de son adolescence jusqu’à ce qu’il soit devenu plus serein et père à plusieurs reprises.

Inhibition


Cette lecture a été pour moi sous tension. Tout le récit est tendu à cause de la souffrance évidente du personnage principal qui oscille entre envie de rébellion et frustration liée à sa grande inhibition. Laurent est effectivement tourmenté et l’auteur parvient avec brio à nous livrer un récit chaotique. Le juste reflet du personnage qu’incarne Laurent et son désarroi.

Liens

Pour ma part, lors de la lecture, il a parfois été complexe de remettre les différents protagonistes (frères ou autres.) Le lien avec sa famille est raconté de manière épistolaire via des missives entre sa fratrie et lui-même. Je me suis parfois perdue dans cette lecture qui je pense nécessiterait une relecture de ma part pour m’éclairer connaissant déjà le fil de l’histoire et l’aboutissement.

Un crachin : art


L’écriture de Jean-Luc Bremond est très poétique. Chacun de ses mots choisis avec soin compte pour construire toute la trame du récit. Son écriture est, je pense, l’issue d’un long travail. Le vocabulaire employé est riche et recherché.
Cette lecture ne vous laissera pas indifférent. J’ai été positivement marquée par des évidences qu’il soulève, des propos philosophiques captivants et des messages pertinents. Des réflexions intéressantes sur l’art notamment m’ont marquées.

Folklore

Beaucoup d’apartés sur le folklore et les danses bretonnes. Elles nous rappellent où nous nous trouvons géographiquement mais qui en soit ne servent pas le récit en lui-même. Ou alors je n’ai pas perçu le lien.
Ce livre s’achève en nous laissant apaisés par une fin sereine. 

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