Sur la route du refuge, de Russie au Canada, des racines aux branches, la voie turquoise du pardon traverse la terre de la spiritualité.
L’arbre des réfugiés
J’écris pour voyager et libérer l’inspiration
Sur la route du refuge, de Russie au Canada, des racines aux branches, la voie turquoise du pardon traverse la terre de la spiritualité.
Une histoire d’amour sans limite sur fond de conflit. Le choix de Firuze. Roméo et Juliette au Moyen-Orient. Cet amour est-il pour autant possible? Une histoire d »amour On trouve de vraies perles dans l’auto-édition, je vois conseille sincèrement d’aller de temps en temps y faire un tour ! Je termine avec quelques jours de retard … Lire la suite
La poésie des saisons. Une chronique sur le roman: un pays, une communauté par la petite rédactrice
« Tout juste épanouie, la fleur dessèche au vent de la jalousie. Le bouquet de fleurs ainsi sécher terni au feu de la comparaison. Faut-il le jeter et en faire un nouveau ? Si une graine de l’immortel tombe dans un terreau de liberté, la pousse sait que, pour conserver ses coloris, elle ne doit ni comparer ni prendre le pouvoir qui n’a de cesse d’organiser son ascension, toujours plus haut et éternellement insatisfait. »
Une épopée dans les contrées d’Asie. Narambaatar, le personnage principal, n’a que 9 ans lorsqu’il est contraint de quitter le désert de Gobi pour atteindre la Chine. Pourtant, son parcours initiatique le mènera dans de multiples contrées d’Asie, de la Mongolie à Katmandou. Ces multiples lieux auront tous un rôle capital dans la construction spirituel du personnage principal et de ces amis. Roman la voie de l’errance.
Bouddhisme, animalisme, chamanisme… Cet ouvrage est une vraie mine d’informations. Narambaatar et ses camarades seront confrontés à de nombreuses pratiques religieuses. Ces-dernières sont d’ailleurs illustrées avec minutie par l’auteur.
Une quête amérindienne ou une odyssée au son du chant du tambour.
Les natifs furent grimés en authentiques Autochtones ! Ils étaient humiliés dans leur âme de subir un tel rabaissement, même dans les réserves, on tolérait leur accoutrement. Bien que dans les pensionnats on leur extirpât tout ce qui était indien, jamais on ne les avait encore à ce point ridiculisés en les maquillant en personnage insignifiant, rabaissés au rang de rien.
L’histoire se concentre autour de la quête d’Achack un jeune amérindien en plein parcours initiatique.
C’est sous son regard candide mais évolutif que des événements historiques et tragiques s’enchaîneront.
Clips vidéo. Résumé en chant, musique et image
Confinement. Une promotion sur le roman un pays, une communauté.
Ce roman est une très belle découverte, la couverture est attirante et l’histoire est encore mieux. On suit la vie de Laurent de son adolescence jusqu’à sa vie d’adulte et de père. Le résumé est très intrigant et on tombe dans un roman que l’on ne peut pas reposer. Il est très bien construit. Ma lecture a été fluide grâce à l’écriture de l’auteur qui est poétique et tous les mots sont bien choisis. Ce récit ne va pas vous laisser indifférent.
Quarantaine, virus et surprise
C’est drôle. Alors que je me réjouis de sortir enfin d’un possible virus, son excrétion levant peu à peu la quarantaine, voilà que j’en découvre un autre : du nom de discorde. Celui qui emporte le monde, par la peur qu’il engendre, serait-il un révélateur de la fragilité des liens du présent ? Qu’importe. Il aura été pour moi l’occasion de marcher sur une nouvelle terre, faite de tranquillité, sincérité et humilité.
Comme le dit Gilles Vigneault : « l’après se prépare maintenant. » Si le musicien chante l’humour, joue l’amour et danse la vie, alors je suivrai les mélodies qu’il égraine en chemin pour m’emplir les poumons de joie.Ainsi se tisse le solide tissage des aspirants à lumière, aux multiples couleurs mêlées tant d’empathie que de bienveillance, afin de recouvrir l’obscurité et relever l’humanité. Il reste la légèreté et la gratitude d’être vivant.
Cap exil, un prochain roman. Nouvelle-Orléans, États-Unis. Août mille huit cent vingt-deux. Cap exil : quelques extraits Voici quelques passages en gestation de mon prochain roman La mangrove Massoma marchait dans la mangrove au milieu des petits arbres aux pieds inondés. Son père était devant, avec son oncle et Bonam. La mousson soufflait violemment. … Lire la suite
Le chant du pardon. J’ai envoyé, il y a peu, un manuscrit à des éditeurs. Je l’ai nommé : l’arbre turquoise. Roman en recherche d’éditeur.
L’arbre des réfugiés est l’histoire de deux jeunes gens issus d’une ferme anabaptiste en Russie. Avec leur enfant, ils fuient la guerre, la famine et l’oppression. Leur rébellion les a conduits à la révolution. La répression les a poussés à la fuite. Contraints de quitter leurs racines, parfois en cachant leurs identités, ils parcourent les branches foisonnantes de l’immigration, insertion et rejet, jusqu’à la terre nourricière de la libération ; voir de la résurrection. Ce roman chante la route de l’exil et la roue de guérison qui conduit à la réconciliation. De secrets en péripéties, de communautés en rencontres, se dévoile peu à peu le mystère enfoui.
Ce roman chante la route de l’exil et la roue de guérison qui conduit à la réconciliation. De secrets en péripéties, de communautés en rencontres, se dévoile peu à peu le mystère enfoui. Je l’ai écrit en hommage aux victimes des préjugés ou des résistants à l’endoctrinement, lesquels, pour pouvoir être eux-mêmes et simplement avancer, doivent parfois s’expatrier. C’est une ode tant à la liberté qu’au pardon, deux chemins ardus qui ont en commun de permettre à l’humain de se tenir debout entre ciel et terre, avec dignité, pour que puisse circuler la lumière de la joie.
En voici un passage